5 Étapes pour comprendre et améliorer le bien-être au travail

Favoriser le bien-être au travail est aujourd’hui une obligation au sein de chaque structure. Élaborer une politique de santé au travail permet de réduire les risques psychosociaux, en agissant notamment sur la qualité de l’environnement au travail, la reconnaissance du rôle de chaque membre de l’équipe et leur motivation. Voici 5 étapes pour comprendre et améliorer le bien-être au travail.

Qu’est-ce que le bien-être au travail ? Comprendre les enjeux de la santé au travail

Plus que la santé physique et mentale, la notion de bien-être au travail fait référence à un sentiment de satisfaction et d’épanouissement au travers de la sphère professionnelle. De nombreuses études mettent l’accent sur l’impact de la perception personnelle du salarié de son climat de travail et des conséquences physiques, psychologiques, psychosociales et émotionnelles influençant l’efficacité, la productivité, la motivation et l’implication au sein de l’entreprise.

L’application d’une politique de bien-être au travail a pour objectif de contribuer à l’épanouissement et à la santé des salariés en favorisant une ambiance de travail positive et bienveillante ainsi qu’une écoute active au sein de l’équipe. Elle tend aussi à prévenir les risques psychosociaux engendrés par un cadre de travail stressant, violent, anxiogène ou épuisant.

La notion de santé au travail englobe :

• le bien-être physique à travers des moyens adaptés pour le confort du poste de travail et des locaux de l’entreprise ;
• le bien-être psychologique au travers de mesures visant à cultiver une ambiance de travail propice à l’épanouissement des salariés.

Quels sont les impacts d’une politique de bien-être au travail ?

Le mal-être au travail impacte considérablement la santé globale du salarié, la performance et la compétitivité de l’entreprise (maladies professionnelles, absentéisme, faibles résultats, turn-over, etc.). Pour pallier ce risque, la politique de réduction des risques sociaux (RDC) pointe particulièrement le développement d’une écoute active des salariés sur tous les aspects organisationnels ayant un impact sur le sentiment d’épanouissement :

• définition du poste ;
• définition des tâches ;
• répartition des tâches claire ;
• sens du travail ;
• relations entre collègues et avec les supérieurs hiérarchiques ;
• aménagement ou flexibilité des horaires ;
• possibilité d’évolution ;
• etc.

Une qualité de vie au travail satisfaisante favorise le sentiment d’appartenance, l’efficacité, l’investissement et la motivation des salariés et participe à la cohésion d’équipe. Les salariés impliqués dans les objectifs de l’entreprise collaborent avec motivation au succès collectif de ces derniers.

Qu’est-ce que le CSE en entreprise ?

Anciennement appelé comité d’entreprise, le comité social et économique (CSE) est l’instance représentative du personnel dans l’entreprise. Élu par les salariés pour une durée de quatre ans, le CSE est imposé au sein des structures comptant plus de onze salariés.

Il s’assure du maintien de bonnes relations entre les employeurs et les salariés en veillant sur tous les points essentiels à la qualité de vie au travail. C’est également lui qui collabore à la mise en place et au respect de la politique de bien-être au travail.

En deçà de onze salariés, l’entreprise n’a pas l’obligation de constituer un comité social et économique, mais conserve l’obligation de la mise en œuvre des mesures favorisant le bien-être au travail. De nombreuses petites structures font appel à un nouveau profil pour remplir cette tâche : le Chief Happiness Officer.

Quel est le rôle du « Chief Happiness Officer » (CHO) ?

Après l’analyse de l’environnement de travail, des différentes fonctions et des interactions, le rôle du Chief Happiness Officer est de travailler avec la direction et l’équipe à instaurer une culture de travail positive. Par le biais d’actions et de mesures sur le long terme, le CHO vise à améliorer les relations internes, à renforcer la cohésion au sein de l’équipe et à créer du lien social. 

Véritable relais entre les salariés et les dirigeants, le Chief Happiness Officer se montre force de proposition pour débloquer les situations impactant négativement le bien-être au travail et la compétitivité de l’entreprise. Parmi ses outils, il favorise les activités fédératrices de manière périodique, telles que les activités de Team Building.

Dernière étape pour cultiver le bien-être au travail : renforcer la cohésion d’équipe avec un Team Building par exemple

Une bonne ambiance au sein de l’entreprise fédère les énergies et permet de gagner en productivité et ainsi, améliorer les résultats. Parmi les pratiques visant à cultiver le sentiment d’appartenance, la motivation des employés et leur bien-être au travail, l’organisation d’activités de Team Building rencontre un vif succès depuis plusieurs années.

Si vous souhaitez découvrir des idées d’activités de cohésion d’équipe, consultez notre offre de Team Building et prenez contact avec notre équipe pour engager pleinement vos salariés dans une stratégie collective de bien-être au travail.

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Sources :
https://www.inrs.fr/risques/bien-etre-travail/ce-qu-il-faut-retenir.html
https://entreprendre.service-public.fr/vosdroits/F34474
https://www.clementine.jobs/fiches-metiers/metiers-marketing-publicite-digitale/cho-chief-happiness-officer/
https://www.cadremploi.fr/editorial/conseils/conseils-carriere/impact-du-bien-etre-au-travail-sur-la-productivite-et-la-performance-des-salaries